Avec un titre à double sens « Pupille » de l’Etat et les Pupilles des yeux qui regarde l’enfant avec amour et tendresse, ce film peut faire écho à plusieurs sorties récentes sur l’enfant, le rôle de l’autre et l’éducation. Que ce soit Amanda ou Mauvaises herbescette fin d’année est marquée par une qualité de production en France, où nous sommes loin de la simple comédie dramatique ou comédie sentimentale… Ce sont à première vue des films traitant avec sincérité des sujets sociaux. Dans cette macro-sociologie de la famille, deux films pose la question de l’amour, comment peut-on aimer un enfant qui n’est pas le notre, comment peut-on l’aider à grandir. Dans son second film Jeanne Herry s’est penché sur les semaines où une mère peut encore faire marche arrière pour récupérer son enfant. Cette période où l’enfant est mis dans le foyer d’un assistant familial, le choix d’un homme pour ce film…
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